
Commencer à compter ses premiers cheveux dans le lavabo ou sur l’oreiller constitue toujours un moment de stress. Perdre les cheveux est pourtant un processus normal et régulier. Quel signe fait qu’il faut s’inquiéter et envisager alors un traitement médical contre la perte de cheveux, et qui soit à la fois efficace et scientifique ?
La perte de cheveux : qu’est-ce que c’est ?
S’il est normal de perdre 45 et 60 cheveux par jour, certains phénomènes bien connus peuvent entraîner une chute excessive des cheveux, heureusement passagère dans la plupart des cas.
Au-delà de 100 cheveux par jour ou d’une durée d’au moins deux mois de chute, la perte de cheveux est considérée comme pathologique et il faut consulter un spécialiste.
La perte de cheveux : qu’est-ce que c’est ?
S’il est normal de perdre une cinquantaine de cheveux par jour, certains phénomènes passagers peuvent entraîner une chute excessive des cheveux. Si elle dure, c’est probablement anormal.
Pourquoi perd-on les cheveux ?
Comme les poils qu’ils sont, les cheveux ont une durée de vie limitée : on l’appelle le cycle pilaire. Ce cycle comprend une phase de croissance (dite anagène), une phase de repos (dite catagène) et une phase d’involution (dite télogène) aboutissant à la « mort » du cheveu, sa chute.
Un cycle pilaire complet dure plusieurs années, dont 6 mois environ pour la phase télogène : 12 % des cheveux sont à un instant T en phase télogène, ils tomberont donc au plus tard dans les 6 mois.
Perte de cheveux : quand s’inquiéter ?
Quand on commence à perdre une centaine de cheveux par jour sur au moins deux mois, 100 cheveux par jour ou d’une durée d’au moins deux mois de chute, cette perte de cheveux est anormale : il est nécessaire de consulter un spécialiste cheveux La Baule pour déterminer la cause, évaluer le risque de calvitie et envisager un traitement.
Pourquoi cette perte de cheveux ?
La perte de cheveux passagère doit être différenciée de la calvitie d’origine androgénétique qui, elle, est définitive. Toutefois, les premiers signes peuvent se ressembler et une chute passagère peut toujours se compliquer en perte définitive.
Les causes physiologiques
Ces causes tout à fait normales ne doivent pas nous inquiéter car elles sont connues et passagères : elles sont censées revenir à la normale sans soins.
Le changement de saison
Nos cheveux suivent le même rythme que les saisons car c’est aussi le rythme… de nos hormones : on parle de chronobiologie. Pourquoi la chute des cheveux est-elle plus marquée à deux saisons, printemps et automne ?
C’est simple : chacun sait qu’on fabrique plus d’hormones sexuelles aux beaux jours, au printemps et en été, sous l’action de la chaleur et de la durée des jours.
Les androgènes, présents en grande quantité chez l’homme et en petite quantité chez la femme, stimulent la pousse du cheveu.
A l’automne, les cheveux ayant poussé durant l’été sont nombreux… et proportionnellement une partie va tomber : c’est la chute de cheveux automnale, comme les feuilles qui n’ont plus assez de sève.
Au printemps, les nouveaux cheveux en croissance vont pousser donc le canal pilaire les cheveux en phase telogène, raccourcissant la durée de cette dernière. C’est un peu comme si les cheveux programmés à tomber dans les 6 mois tombaient alors de manière un peu plus synchrone : c’est la chute de cheveux printanière.
Les changements hormonaux chez la femme
Des changements hormonaux naturels se retrouvent aussi chez la femme, comme la grossesse, la ménopause ou la prise de certains contraceptifs.
Durant la grossesse, la haute teneur en progestérone inhibe l’action des androgènes, d’où de nombreux cheveux en phase telogène : après l’accouchement, ils sont donc plus nombreux à tomber quand ce « barrage progestéronique » tombe.
Il faut d’ailleurs noter que de nombreuses hormones peuvent modifier le cycle pilaire, notamment la glande thyroïde ou la glande hypophysaire. C’est pourquoi un bilan hormonal peut être prescrit pour un diagnostic chute de cheveux La Baule.
Les causes pathologiques
Toutes ne sont pas graves et certaines sont faciles à prendre en charge.
Parmi ces différentes causes, citons notamment :
- Les carences alimentaires, en vitamines et en oligo-éléments (zinc, soufre…)
- Le stress ou les chocs émotionnels
- Les causes iatrogènes, induites par des produits extérieurs à l’organisme, comme évidemment une chimiothérapie. Habituellement, les cheveux se remettent à pousser environ 1 mois après l’arrêt du traitement
- Les maladies de peau atteignant le cuir chevelu comme une pelade ou une dermite séborrhéique.
La chute de cheveux : quelle est la solution ?
Un spécialiste cheveux La Baule va d’abord effectuer un diagnostic, pour déterminer le meilleur traitement. La perte de cheveux peut en effet être traitée de différentes manières selon les causes.
Injections PRP Cheveux La Baule
Les injections de PRP Cheveux visent à ramener près des follicules pileux des cellules souches, issues des plaquettes sanguines. Cette technique stimule le bulbe capillaire, avec la possibilité de compléter par de la mésothérapie afin d’y apporter les nutriments nécessaires à la pousse du cheveu. Ces deux soins sont complémentaires, comme un jardinier qui planterait un germe et ajouterait de l’engrais.
La technique de LED Cheveux La Baule
Le LED Cheveux optimise les résultats de ces deux techniques grâce à la combinaison de différentes ondes. Elles potentialisent les effets des produits injectés (le plasma riche en plaquettes ou les principes actifs) en stimulant le derme du cuir chevelu. Le casque Miltahead® combine ainsi l’énergie de plusieurs technologies : champ magnétique, infrarouge et laser.